The Genocide
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 Talisiriste, Shame of Dalanor

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Terenia the Wise
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Terenia the Wise
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   Posté le 03-04-2004 à 07:57:46   Voir le profil de Terenia the Wise (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Terenia the Wise   

J'ai mit la première partie du texte, mais bon c'est long et j'avais hâte de poster alors la deuxième partie vas venir plus tard. C'est Terenia à l'âge de 130ans (elle est une demi-dieux alors elle ne vieilli plus après 25 ans.)

Terenia se tenait sur les remparts de la ville de Talisiriste. Ses cheveux roux flottaient dans les vents d’est, elle regardait la Vallée Idonir. Se trouvant devant elle se trouvaient les milliers de point noir de l’armée de Junolisse, dieu du mal. Aux fronts de cette masse se trouvait Duranor, l’armure noir de cet homme marqué du signe de son dieu. Plus de 200 chevaliers, de l’ordre de la lame, guidait les soldats sur le terrain. De grande machine de siège se tenait entre les rangées d’homme. Une vue terrible qui donna des frissons dans le corps de la Dame. La femme de 25 ans était arrivée dans la cité de Talisiriste après la mort de son mari, il y à peine deux mois. Les armées de Duranor avait depuis ce temps avancer sur les Portes de Ciberil, l’avant garde de la grande cité blanche de Talisiriste. Les gardes manquaient sur les remparts de la ville et la victoire de l’ennemie était inévitable.

Un homme vint aux coté de Terenia Delamayet lui adressa respectueusement la parole. Elle le reconnut comme un Chevalier Blanc de Nesseriel.
« Dame de Kelena… Le combat prendra lieu bientôt et nous ne voudrions pas que mal vous soi fait. Vous devriez considérer retourner au temple pour prier. »
La fille de Kelena accepta d’un signe de tête. Tous les habitants se savaient coincer dans leur forteresse et l’ennemie empêchait toute fuite. Elle répondit d’un ton accablé, mais qui mit un peu de courage dans ceux qui l’entendaient.
« Bien, je retournerai au temple. Prenez soin de vous Sire Chevalier. »

Elle jeta un dernier regard vers le soleil levant et les armés marchants. Gneis ferma les yeux pour cacher leur fin de ses paupières et se tourna vers l’escalier qui descendait vers la ville. Rendu aux sols, elle aperçut les commerce fermer et les fenêtres barricader. La ville se tenait dans un silence de mort. Seul les hommes armés couraient dans les rues, une atmosphère écrasait toutes voix. Elle aperçut les jardins avant du temple de Kelena, la dame rentra dans le bâtiment magnifique. Un grand chêne se trouvait au centre de la seule pièce de marbre. Terenia s’y accroupis et ferma ses yeux. Les prochains moment semblèrent passé lentement, mais elle ne put que les entendrent.

Le combat commencèrent 1 heure après le départ de la Prêtresse. De flèche volèrent des deux coté causant beaucoup de dommage. Un chevalier Noir leva son bouclier avec lequel il bloqua une flèche, une autre se ficha dans sa côte de maille. Sans enlever le projectile de sa blessure, il donna ordre à son groupe d’archée de faire feu. La ligne de pointe d’acier se souleva dans les airs formant un grand arc, puis se planta dans la chair des gardes des remparts. Certains se trouvaient mort avec plus 10 flèche dans le corps. Des hommes tombaient des remparts et bientôt les armées de Dalanor eurent monté les échelles et le combat d’épée commença. Les machine de siège se lançaient contre les portes de fer massif de la cité blanche. Des trébuchets lançaient leur projectile mortel contre les bâtiments de la ville et Talisiriste ripostait avec des lançant par leur catapulte des tonneaux d’huile en feu sur les hommes de Junolisse. Les portes de la cité furent briser et les chevaliers blancs et les paladins se lancèrent dans un combat mortel contre ces ennemies redoutable. Les gardes furent pousser vers l’arrière et bientôt tout ce qui restait pour garder la ville dut ce rendre à l’ennemie. Les Forces de Dalanor avaient gagné.

Les soldats moins disciplinés se mirent à courir les rues, brûlant les bâtiments et pillant les maisons. Tous courraient pour avoir la meilleur part des richesses de leur victoire et de prendre possession des meilleures femmes. Les chevaliers Noirs, portant un plus grand respect pour les vaincus, ils s’affairaient à brûler les temples des dieux opposés, ceux qui se révoltaient étaient tuer sur le coup. Les belles femmes tombèrent prisonnière pour le plaisir des hommes de Duranor, les maris de celle-ci mourrant en essayant de les protéger. Quand la ville fut pillée jusqu'à la dernière pièce de Tef, le commandant rétablis un certain ordre. Il obligea les tavernes à ouvrir, pour pouvoir fêter leur victoire et obligé ses hommes de cessé leurs ravages. Les officiers s’amusèrent bien cette nuit aux dépourvus de la cité de Talisiriste et de ses femmes qui furent violé et battue. Une triste journée pour la cité Blanche, qui brûlait d’une lumière orange dans la nuit.

Terenia Delamay s’était fait assommer sans savoir ce qui lui arrivait, elle se réveilla dans un cachot sombre d’une des pièces du Château de Talisiriste. Son corps soufrait de plusieurs crampe et sa tête lui fessait atrocement mal. Elle était fixée au mur avec des sangles de cuire lui attachant les poignait, les chevilles et le cou. Elle avait les bras écartés au-dessus de sa tête et elle se trouvait agenouillé sur le sol dure. Gneis essaya de bouger de cette position inconfortable, mais les courroies tenait bon. Sa tête ne pouvait bouger dans aucune direction que la porte de fer de son cachot. Un homme rentra accompagner de deux hommes en arme. Duranor adressa la parole à Terenia.
« Enfin vous vous réveillé, je me présente Duranor. »
Il sourit à Gneis qui en revanche afficha un regard menacent, qui paraissait ridicule dans sa position. L’homme continua;
« Nous ne sommes pas très différents l’un de l’autre Gneis. C’est comme ça que vous vous appeler? »
Ses paroles ne portaient aucune politesse et il s’amusait à la ridiculiser. Elle ne répondit pas pour ne pas lui faire plaisir. Il continua après son petit arrêt;
« Voyez-vous jeune Dame, nous sommes touts deux connecter à nos dieux. Toi Kelena et moi Junolisse. Malheureusement chère dame, Vous êtes ennemie de mon dieu. »
Dalanor exposa son bras tatoué d’un signe de fumée noir, pour montrer que lui aussi avait été né de l’essence de son dieu. Avec un sourire, Il reprit parole sans laisser Terenia parler.
« Je vous ai protégé de mes hommes, pour satisfaire la cruauté de mon dieu. De plus vous êtes la plus belle femme de ce royaume et je ne contais vous laisser à de simple officier. »

Dalanor fit un petit mouvement à un des hommes de sa garde personnel et un d’eux pris se dirigea ver Gneis et lui détacha les courroies. Terenia tomba au sol tellement elle était épuiser. Les deux gardes la prirent douloureusement par les bras et la forcire sur ses pieds. Le commandant éclat en un rire cruel en voyant la femme tomber sans force sur le plancher dure.
*J’ai la fille d’une Déesse à ma mercie. *
Dalanor sorti de la petite pièce sombres suivi de ses deux hommes qui portait Gneis avec eux. Ils marchèrent un long moment à travers le château. Finalement, il s’arrêta devant une porte double. Il ouvrit celle-ci pour révéler une chambre luxueuse munit d’un lit à baldaquin et d’une grande garde-robe. Gneis se fit déposer sur le lit d’où elle ne bougea pas telle était sa fatigue. Dalanor parla avant de quitté;
« Voici votre appartement Dame Delamay, je vous attends pour ce soir. »
Il sortit accompagné de ses gardes et ferma les porte, puis les barra.

Une fois la captive seule, elle se releva et examina la salle en profondeur. Son lit était douillait, mais avait probablement été volé aux riches familles de Talisiriste. Un bassinet d’eau chaude, pour quelle puisse se laver, se trouvait dans un coin de la grande pièce. Elle se dirigea vers une des fenêtres, des barreaux empêchaient toute fuite et tout de même elle se trouvait à plus de 50 mètres de hauteur. Le soleil de midi éclairait la pièce et cela lui laissaient beaucoup de temps avant la soirée. Elle ouvrit la garde robe et à sa surprise on y avait laissé seulement des robes noires et ses propres vêtements étaient en lambeaux. Elle s’étendit sur le lit, découragée et sans espoirs. Terenia fondit en larme sur le sort qui lui était réservé. Elle finit par s’endormir sur le lit de luxe.

Elle se réveilla deux heures avant le soupé quand un servant venu l’avertir de se préparer. Obligé, elle se dévêtis et se nettoya dans l’eau tiède du bassinet. Elle se rhabilla d’une robe de satin noir. L’habit la torturait intérieurement, la couleur noir lui était prohibée. Elle était réservée aux fidèles des dieux du mal. La fille de Kelena se sentit faiblir à cette pensée, mais elle se devait de rester en vie. Le soleil venait de se coucher quand elle finit de mettre la robe et les accessoires. Terenia ferma les yeux pour bannir la honte quelle avait à porter une telle chose.

Le commandant Daranor ouvrit la porte sans avertir et fut un peu ému à la vue de Gneis. L’homme aussi était d’une belle splendeur, mais celle-ci se ternissait par son mal. Il la salua et lui dit d’un ton moqueur, mais pourtant disant la vérité.
« Le noir vous va à merveille, Dame Delamay. »
La Delamay frémi à ses mots. Delanor s’approcha d’elle et lui fit le baisse-main, puis repris parole.
« La fille de Kelena, se dérangerait t-elle de venir prendre part au festin? »
Gneis toujours décidé à ne pas parler, ne répondit rien, mais elle le maudissait de l’intérieur de l’obligé à se pavané et a trahi sa Déesse.
« Alors venez belle Dame. »
Il lui indiqua de le suivre et à contre cœur, elle obéit.

Les deux arrivèrent dans une grande salle ouverte sur deux étages. De grande table y était monté et de la nourriture aux allures succulente s’exhibait de toutes leurs couleurs. Déjà, plusieurs personne était installée aux grandes tables et à l’arrivée de Terenia et de Dalanor tous se turent pour admirer les deux ‘Bénit des dieux’. Le commandant indiqua à la belle Terenia une place opposée à la sienne. Les conversations dans la salle changèrent tous pour parler de ces deux nouveau arrivant. Dalanor se leva et demanda silence à tous, puis il prit parole.
« Je vous ai convoqués en ce soir pour vous apprendre une nouvelle. »
Un long silence entre deux respirations se fit et Terenia les yeux horrifier par ce qui allait suivre ne pus respirer. Dalanor continua son discourt;
« Je vous annonce en ce soir, que Terenia Delamay sera ma nouvelle femme. »
Le commandant montra Gneis de la main. Celle-ci était pétrifier sur place par la nouvelle…

Mysako
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   Posté le 04-04-2004 à 09:01:03   Voir le profil de Mysako (Offline)   Répondre à ce message   http://forum.alloforum.com/?id=3460   Envoyer un message privé à Mysako   

interessant j'attend la suite de toute impatience

* regarde attentivement la conteuse *


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la mort est un repos auquel je n'ai pas droit...
Aucun repos pour l'etre imonde que je suis ...
l'etre degeulasse que je fut ...
née dans le vice seule soupirante de de cette cette voie ...
le requiem des corompus,des impies et des tyrands...
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Terenia the Wise
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   Posté le 05-04-2004 à 04:54:51   Voir le profil de Terenia the Wise (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Terenia the Wise   

Elle ne mangea pas ce soir, Terenia sentait les regards pesés sur elle, dont celle de sa divinité qui devait s’enrager de cette alliance impure. La dame garda le silence tout le repas et tous s’amusèrent à l’exception d’elle. Le banquet prit fin et Dalanor la raccompagna dans sa chambre et avant de refermer la porte il répondit aux questions non demandées de Terenia.
« Ce sont les dieux qui l’ont voulu… et moi aussi. »
Sur ces mots il referma la porte et Terenia se retrouva prisonnière de sa chambre. Seul la lune de sa Déesse éclairait d’une lueur verdâtre la pièce, Gneis jeta un regard vers le ciel étoilé où Kelena la regardait probablement. La disciple se dit à elle-même.
« Je suis désoler Kelena, mais…je ne peux rien faire. J’ai bien peur que ce qui m’attend ne sera d’aucun plaisir… »
Sur ces mots un vent vint lui caresser la joue. Une larme tomba sur le plancher de pierre et Terenia se coucha dans son éternel tristesse.
Sur le seuil de la porte Dalanor se tenait un sourire aux lèvres après avoir entendu la voix de femme.
« Bien… tu ne seras pas déçu Terenia. »
Sur cela il repartit vers ses propres appartements.

Le matin se leva, un rayon de lumière éclaira le visage de Gneis. La femme ouvrit les yeux tranquillement, espérant un mauvais rêve de se dissiper, mais les même murs l’emprisonnait. Elle se releva péniblement et encore une fois regarda par la fenêtre de son appartement. Une vue de la ville se présentait devant ses yeux comme un jeu d’échec, les soldats de Dalanor reconstruisaient les marché et les défenses de la ville. Un drapeau aux couleurs noir et rouge s’érigeait à la place du drapeau Blanc de Talisiriste. La Delamay portait encore la robe noire de la veille et ses cheveux tombaient sur ses épaules à moitié dénudée, comme une pluie qui s’écoule sur les maisons. On vint lui porter son déjeuner dans sa chambre, son mari préférant la voir enfermer dans sa chambre pour mieux la faire souffrir. Elle mangea sans appétit, le mariage aurait lieu quand le soleil serait à son Zénith.

Le temps passa et une bonne femme venue l’assister pour mettre sa robe de mariage. Ironiquement la robe était blanche et brodée de vert, mais des signes noirs la parcourait. Cet homme se jouait de son âme et de ses esprits, Terenia décidé de ne pas se laissé faire ne porta aucune attention à ces détails qui était destiné à l’importuné. Une garde venue l’accompagné jusqu’à la salle du trône où se trouvait déjà son futur mari. Un voile cachait son visage quand elle entra dans la salle et se força à cacher ses faiblesses. Tous dans la salle la regardaient d’un air méprisent, en suivant chacun de ces mouvements et en essayant de voir le visage de la futur marié. Terenia arriva au niveau de son amant, celui-ci affichait toujours son sourire cruel. Le clerc prononça quelques mots incompréhensibles honorant les dieux du mal. Finalement vint le temps que les deux s’embrassent, Dalanor souleva le voile et sans hésiter l’embrassa sur les lèvres. Elle frémit sous le contact, mais ne voulu pas se retirer, cela aurait marqué son arrête de mort.

Le baisser prit fin, et Dalanor pris dans ses bras sa belle, l’accrochant à son cou et la tenant de ses bras forts. Il la porta jusqu’à l’appartement nuptial. L’époux là déposa sur le lit et barra la porte, puis il s’adressa à sa nouvelle femme.
« Je compte bien profané ton corps sacré. »
Terenia se releva défiante, aucune lumière ne rentrait dans la pièce et leur mouvement était caché par la noirceur. Il la reprit sous son pouvoir et la plaqua contre le lit. Dalanor se mit à la tâche de détacher les lacets qui retenaient la robe de Terenia Delamay. Elle se débattit pour éloigner l’homme, mais celui-ci la tenait solidement immobiliser. Il attacha la femme au lit à l’aide de sangle de cuir qu’il avait amené, s’attendant à une telle résistance de la part de son épouse. Il avait maintenant les deux mains libres pour là dévêtir, Terenia cria de découragement ce qui ne fit qu’augmenter l’excitation de son mari. Il abaissa le haut de la robe dénudant sa poitrine. Il retira son propre chandail et se cala la bouche sur les seins fermes du corps sacré de cette femme. Il baissa son pantalon et remonta les bas tissus de la robe. Il la pénétra sans rien lui avoir demander et la femme cria de peine en essayant de se détacher de ses courroies qui là retenait couché. L’homme assouvis ses désirs sur son épouse forcée et en un moment relâcha tout son corps après un dernier effort. Il se sépara d’elle et se rendormis à ses cotés. Terenia pleurait, couché sur le lit ses vêtements déchirer lui cachant le corps. Elle portait maintenant l’enfant de cet homme en elle.

Gneis se réveilla le matin d’après, ses mains étaient toujours liées, mais une couverture avait été jetée sur son corps nue. Ses cheveux roux tombaient sur coussin comme le soleil dans le ciel. Son mari Dalanor se trouvait toujours endormis à ses coté. Elle essaya de se libérer de l’étreinte douloureuse des sangles de cuire, mais ces mouvements réveillèrent son époux. Il se leva et alla embrasser le front de sa belle opprimée. Un sourire s’afficha sur son visage et il dit d’un ton moqueur.
« Bien dormi Terenia? »
Il lui détacha ses sangles la sachant en sa garde. Terenia le détestait, depuis le début il là tenait attacher comme une bête. Elle se frotta les mains pour faire revenir le sang dans ses membres, quand Dalanor lui attacha un collier de fer au cou. Elle essaya de le retirer de toutes ses forces, mais cela se révéla impossible sans la clé. Le commandant lui adressa la parole à nouveau.
« Rhabille-toi, Femme. Nous sortons. »
Dalanor se dirigea vers une commode et pris une tenue de la taille de Gneis et lui lança. Il prit ses propres habits et les enfila. Terenia le dévisagea, puis se releva poussant de la couverture. Elle prit temps de mettre sa tenue sous le regard de son mari indigne. Une fois habillées, la dame se peigna les cheveux et se décora de boucle d’oreille quelle n’aurait jamais porté au paravent. Dalanor lui indiqua la porte et Dame Delamay sorti sans prononcer un mot à son époux.

Le couple arrivèrent dans une écurie bien entretenue, plusieurs chevaux se trouvaient dans la partie ouverte de l’endroit. Une jument blanche lui était destinée et avec un peu d’aide elle y embarqua. Son mari l’obligea à porter une chaîne sur son collet pour la tenir bien sage. Il lui dit en riant avec ses hommes.
« Je dois bien te dompter ma femme. »
La garde personnel de Dalanor prirent place sur leur animal et suivirent le chemin qui avait été demandé par leur commandant. Cette route passait à travers un bois beau et tranquille. Gneis regardait avec envie la forêt à qui elle se vouait, Dalanor remarqua ces regards dans sa femme et il se mit à rire de ça faiblesse. Il fit signe à ses gardes de s’éloigné et après que ceux-ci soi hors de vue, il porta parole à son épouse.
« Vous voulez vraiment retourner dans ces bois Ma belle Dame? Vous pouvez rêver vous ne toucherez jamais à une plante encore de votre vie. »
Terenia observa Dalanor avec la tristesse affiché dans son visage. Elle avait depuis longtemps perdue espoir de retrouver sa Déesse et elle se résigna finalement a adressé la parole à celui qui était son mari.
« Dalanor… Pourquoi me garder avec vous quand vous pourriez avoir toutes les femmes de ce royaume. »
L’homme fut émerveiller par la beauté de cette voix qui lui parlait. Un moment se fit attendre, avant qu’il ne réponde enfin à sa femme.
« Dame Delamay…Vous êtes victime de mon dieu qui veut infliger punition sur sa sœur. Je ne désirs rien d’autre que d’accomplir les desseins de mon maître. Ci-cela est tombé sur vous, j’en suis reconnaissant envers-lui de m’avoir donner une si belle proie. »
Il arrêta son cheval, obligent Terenia à faire de même avec le sien et repris parole.
« Vous semblez bien inconsciente de votre importance pour votre Déesse et connaissez-vous le moindre détail sur les dieux et leurs projets? Cela m’étonnera même, que vous connaissiez votre propre personne, Terenia. Peut être un jour, je vous expliquerai. »
Sur cette phrase elle resta silencieuse le reste du voyage, suivant de près son époux. Arrivée à leur point de départ, Dalanor retira le collier du cou de sa Dame et là laissa partir vers sa chambre.

Le soir venu, Dalanor couchait dans le lit de sa femme et son corps se collait souvent sur les courbes de Terenia. Ce fut le même manège pendant plusieurs jours et l’épouse s’habitua à ces profanations répéter. Terenia devait avouer qu’il fessait l’amour comme un dieu, et que difficilement elle retenait ses jouissances.

Le mariage avait eu lieu il y a environ cinq semaines, depuis ce temps son titre avait changé de ‘Prêtresse de Kelena’ à ‘fille de joie’. Son mari ouvrit la porte sans avertir et la referma derrière lui. Gneis se retourna vers cette visite inattendue et baissa les yeux. Dalanor la prit par les bras se tenant devant elle, il l’embrassa dans le cou, quand elle se détourna de son regard. Après s’être séparé de la douce, le commandant lui adressa la parole.
« Terenia…Je vais partir pour les prochains mois et je veux t’avertir que tu ne verras personnes entre temps. »
Elle vint pour se plaindre, mais le maître l’embrassa sur ses lèvres dorées. Gneis prit plaisir de ce baiser qui recelait un peu d’amour, elle se sentait tout de même honteuse de sa réaction. L’homme passa sa main dans les cheveux soyeux de sa Dame, il sourit agréablement et parla.
« Vous commencez enfin à prendre plaisir à mes baisers. »
Pour seule réponse, la fille de Kelena entoura de ses bras le fil de Junolisse et elle remonta sa jambe droite contre la cuisse de son époux. Dalanor fit glisser les brettelles de la robe qui tomba, délaissant le buste de sa propriétaire. Le mari déposa sa femme contre le lit, lui donnant sa dernière session d’amour avant un long moment. Il donna à Terenia un grand voile transparent pour quelle se couvre des courants d’air de sa chambre, puis il quitta vers les combats qui l’attendaient.

Les premiers mois en l’absence de son mari furent pénibles. Gneis occupait son temps en regardant par la fenêtre vers cette cité où elle avait déjà vécu librement. Les doux jours de printemps laissèrent place aux chaudes journées d’été et aux arbres remplies de feuilles vertes. Les champs se remplissaient de leurs semis et la vie dans la ville de Talisiriste ne semblaient pas si dure sous le contrôle de Junolisse. Les habitants de la ville prospéraient et une grande fête de joie fut organiser pour le solstice d’été. Au contraire pour la Delamay, ses journées étaient longue et ennuyeuse, aucun vivant n’était admit dans ses appartements en l’absence de son maître et les caresses de celui-ci commencèrent même à là manquer. Son ventre prit de l’ampleur et Terenia soupçonna l’enfant qui grandissait en elle. Ses pensées furent occupées entre le retour du père et l’accouchement de son enfant.

Le septième mois après le départ de Dalanor arriva, le ventre de la Dame se bombait sous l’enfant et une lettre de son mari lui avait permis d’être accompagnée d’une sage-femme, mais Terenia se devait de ne pas quitter la pièce. La mère passait rarement une soirée sans se réveiller sous les coups de son enfant et son dos commençait à lui faire atrocement mal. De grâce, ses journées étaient maintenant plus occupées, elle parlait à sa domestique nommer Mia et parfois discutait de son bébé avec elle. Cette journée de novembre ensoleillé donna espoir à Terenia, quand Mia vint alimenter le feu Gneis lui parla d’un ton chaleureux.
« Mia, je peux te faire confiance? »
Mia arrêta son travail pour converser avec sa maîtresse. La domestique portait une robe modeste comparer à celle de Terenia, néanmoins Mia était charmante pour une jeune fille de son âge.
« Bien sure, Madame. »
Mia cachait ses émotions envers ses maîtres, cependant elle aimait bien entendre la voix de Terenia. Elle afficha un petit sourire gêner. Terenia rendit le sourire à Mia et repris parole.
« Mia…je me confesse à toi ce que personne d’autre ne devrait savoir. Je ne crois pas pouvoirs tenir encore longtemps aux jeux de mon mari. Il essaye de me briser, et éventuellement je crois qu’il m’aura totalement en son contrôle. Il tient toujours mon corps en sa possession, mais mon esprit reste hors de porter. Quand mon mari mettra la main sur cette partie de moi, je tomberai et il me fera sa Reine Noir. Je trahirai ma propre Déesse et viendrai détruire la famille dont je suis née. Mon âme sera perdue à jamais et Junolisse aura marquée un point contre Kelena. »
Après s’être déclaré, Gneis tomba en larme. Elle venait d’avouer sa défaite imminente et tout portait à croire que cela allait bien vraisemblablement arriver.



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Gneis Autumnleaf, Des quatre de Kelena
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   Posté le 06-04-2004 à 01:33:30   Voir le profil de Mysako (Offline)   Répondre à ce message   http://forum.alloforum.com/?id=3460   Envoyer un message privé à Mysako   

TT__TT

j'ai hate de voir la suite au moin le mechant parait pas si mechant c deja ca ....


( si tu liot ca veut tu te conecter stp?)


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Kyle manson
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   Posté le 12-04-2004 à 22:52:23   Voir le profil de Kyle manson (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Kyle manson   

Je peux tu mettre ici genre dans un new topic ben ma paroles de chanson de chacun de mes silences


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   Posté le 13-04-2004 à 01:32:30   Voir le profil de Mysako (Offline)   Répondre à ce message   http://forum.alloforum.com/?id=3460   Envoyer un message privé à Mysako   

oui tu peux kyle c un section pour ca fait un nouveau topic et ca me fait plaisir ^^


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   Posté le 13-04-2004 à 04:28:51   Voir le profil de Kyle manson (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Kyle manson   

Oui oké mais je vais le faire plus tard ca va etre le titre:Les pensée inedites de Kyle


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   Posté le 14-04-2004 à 01:28:56   Voir le profil de Mysako (Offline)   Répondre à ce message   http://forum.alloforum.com/?id=3460   Envoyer un message privé à Mysako   

hehe ca va etre bien jen suis sure ...


messemble de savoir a quoi tu pense


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Terenia the Wise
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   Posté le 14-04-2004 à 01:50:38   Voir le profil de Terenia the Wise (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Terenia the Wise   

Mia fut toucher par les pleure de sa Maîtresse et elle tenta pour le mieux de la réconforter. « Maîtresse… même si cela arrivait vous gardé en vous ce que vous avez de beauté et de gentillesse. Je suis sure que votre Déesse vous reconnaîtra toujours comme l’une des sienne. » Gneis afficha un sourire et remonta la tête pour regarder Mia dans les yeux. Terenia se tenait assise sur son lit et elle prit la parole.
« Appelle-moi Terenia, après nous sommes au même niveau. Nous sommes toutes deux prisonnières de ce château. » Les deux femmes discutèrent, puis Mia du quitter et Terenia se retrouva de nouveau seul.

Le mois de janvier passa et le temps froid devenu glacial. Le château mal isoler devait garder les nombreux foyers allumés, ce qui constituait une tâche assez dure vus la grandeur du bâtiment. Terenia s’abriait d’une couverture chaude devant le foyer. Mia se trouvait constamment à ses côtés pour la surveiller, depuis que sa maîtresse avait demandé changement dans le travaille de sa bonne. Les deux femmes étaient devenues des amies inséparables et Mia se trouvaient de grand aide quand le ventre de Terenia la fessait souffrir.

Le jour de l’accouchement arriva le 18 janvier, après de longues heures de contorsion et de mal, le bébé sorti enfin sain et sauf du ventre de sa mère. Mia avait été assignée à l’accouchement et elle coupa le cordon reliant le nouveau-né à la femme, le petit pleurait de tout son corps. Terenia demanda à voir son enfant et Mia lui donna dans ses bras. Le petit sécha ses larmes et la mère calma sa respiration. La demi-Déesse afficha un merveilleux sourire destiner à son enfant, elle berca sa création dans ses bras. D’une voix douce elle dit.
« Je te nommerai Arian, fil de Daranor. »
Elle se sentit fatiguer, et avant de s’endormir, elle passa Arian à Mia. La bonne déposa le petit dans un berceau proche du lit de sa mère. La mère et le bébé étaient déjà endormis.

Les mois passèrent et Terenia s’occupait du mieux quelle pouvait de son petit Arian. Ce fut un jour de mars où elle fut déranger pendant sa journée. Elle allaitait son enfant comme tous les jours, quand un homme en uniformes rentra dans ses appartements. Il se détourna son regard en voyant que la femme était occuper. Gneis remonta le pant de sa robe et le bébé grincha un peu quand il fut séparé de son lait maternel. Terenia le garda dans ses bras et demanda à cette homme essoufflé ce qui le pressait tant. Le militaire répondit rapidement en s’excusant du même moment.
« Je suis désoler ma Dame, mais un scout viens d’arriver et il annonce l’arrivé prochaine votre mari. »
Gneis écarquilla les yeux d’étonnement et elle fixa le garde un peu gêner. Elle ouvrie la bouche pour dire un mot, cependant aucun mot ne sorti. Le garde la salua et repartit en refermant la porte. Terenia se pressa de déposer son enfant dans son lit et elle se mit à paniquer vers cette arrivé imminente de son mari. Elle se pressa pour se changer et se mettre aux goûts de Daranor. La femme se vêtit d’une robe fait de voile léger, et opportun pour le printemps. Elle prit comme une cape le voile si fin que son mari lui avait laissé à son départ. Terenia s’empressa de peigné ses cheveux qui étaient pourtant parfait. La Demi-Déesse ne voulait pas décevoir son mari, qu’elle avait fini par adorer et chérir.

On lui permis de sortir sans être attacher et une douce brise fit danser ses vêtements dans le vent. Ses tissus flottaient dans les airs comme une douce brume du matin s’enroulant à ses jambes et ses bras. Cette brume blanchâtre presque invisible cachait très peu le corps de la Dame qui la portait et les hommes se sentait exciter par les courbes de cette femme. Les gallos des chevaux se firent entendre et le cœur de Terenia palpita de joie pour accompagner l’arrivé tant attendue de son époux. Derenar arriva accompagné de sa garde et il sauta de son cheval Fitior pour aller à la rencontre de sa femme. Un sourire s’afficha sur son visage en apercevant les habits léger de son épouse et ses doux traits. Terenia resta figer aux sols pendant l’approche de son mari et seul sa respiration accompagnée de ses yeux emplis d’émotion révélait son ardeur. L’homme profita de ce moment de tranquillité de sa femme pour l’embrasser. Un doux baisser qui dura longtemps, car il portait le seul amour qu’il avait donné à aucune femme depuis des mois. Derenar était peut-être cruel d’avoir forcé Terenia à le mariée, mais il gardait son honneur en portant loyauté à elle seule. Les deux se séparèrent, pour ne pas mettre en jalousie les voyeurs. Un garçon d’étable venu chercher Fitior et les Daranor guida sa femme jusqu'à l’entré principal du château. Leurs pas était lents et Terenia se collait à son mari, rendu dans un corridor vide Daranor adressa la parole à sa femme.
« Terenia, Comment a-tu trouver le temps sans moi? » Terenia ne sut quoi répondre aux débuts croyant à une autre ruse de son époux, finalement elle se résolut à répondre. « Long, Très long, Trop Long. »
Terenia se sentit gêner de ne pas s’être montrer à la hauteur de l’absence de son époux. Elle continua sur un ton magique.
« Dit-moi Daranor, que tu ne me laisseras plus seule. Je veux venir dans tes guerres s’il le faut. »
Daranor pour seule réponse, embrassa les lèvres tendres de Gneis. Daranor amena sa femme dans leur appartement et les deux passèrent le reste de la journée à se faire l’amour un à l’autre.

Le matin se leva, amenant avec lui la fraîche rosé du matin, Daranor sorti sa femme du lit avec un baiser et il posa une question à propos de l’enfant, qui ne serait pas le seule que Terenia mettrais au monde.
« Tu as eu beaucoup de douleur a accouché de notre enfant? »
Gneis fut surprise d’une telle question, son mari devait certainement connaître la réponse, mais elle répondit sincèrement.
« Oui… ce fut très dur. » Daranor sourit en sachant que sa femme avait tout de même sentit la douleur de son amour et il posa une autre question.
« Comment as-tu nommé notre bébé ? » Cette fois ci Terenia afficha un sourire furtif en sachant que son mari s’intéressait un peu à son descendant. Elle enlaça son époux et répondit. « Je l’ai nommé Arian Fil de Daranor. »
Daranor sourit et embrassa sa femme la serrant contre lui. Après un moment, les Terenia se sépara et prit son enfant dans ses bras. Elle retourna à Daranor et le déposa dans ces bras. L’homme le prit avec difficulté, habitué à porter une épée, il n’avait pas la douceur de sa femme. La Delamay reprit son enfant et s’assit proche de la fenêtre. La mère décrocha une bretelle de sa robe et donna du lait à son enfant affamé. Daranor resta debout à observé sa femme, quand elle eu fini il l’amena avec lui vers leur table de déjeuner. Arian resta sous la garde de Mia.

Daranor resta plusieurs semaines à leur résidence, et même si les jours Daranor était souvent occupé, Terenia affichait toujours un sourire et parlait avec une voix enjouée. Parfois, Daranor l’amenait voir la beauté de leur jardin et Terenia devenait plus docile dans ce lieu. Daranor voyant cette obéissance en sa femme se douta au début, mais finalement il décida de là laisser sortir de ses appartements. Quand Daranor devait se présenter devant des nobles familles ou ses troupes, il traînait sa belle fleur, Terenia, comme un trophée.

Terenia se courbait aux demandes de son mari, cella enrageait sa Déesse Kelena. La déesse de la nature se trouvait pourtant sans pouvoirs contre son frère Junolisse. Junolisse avait conquit une des filles de Kelena et il en gardait maintenant les droits. Cette alliance corrompu avait été crée par le mariage de Daranor, le fils de Junolisse et Terenia fille de Kelena. La déesse se vus obligée de desserrer son contrôle sur sa fille et ce ne fut pas sans colère, car en fessant ainsi elle laissait sa fille se teindre de la noirceur de son ennemie. Après seulement une année, Terenia se vouait complètement à son époux et du même fait à Junolisse. La fille ne lui servait pas à autre chose que d’un trophée pour marquer sa victoire sur sa sœur Kelena. Rien n’allait en s’améliorant, car les armées du dieu du mal avançaient invaincu sur les peuples des dieux du bien. Des machinations venaient à son esprit sur le futur de cette pauvre enfant, Terenia, des idées qui humilierait Kelena aux plus profond de son estime.

La lune s’affichait tranquillement dans cette douce soirée d’été, les ciels gardaient des couleurs mauves et enchantant. Terenia somnolait dans son lit, elle regardait d’un œil la fenêtre et les couleurs du ciel. Elle se retourna dans les draps quand la grande porte de bois massif s’ouvrit. Daranor entra et referma derrière lui, il ne parla pas pensent sa femme endormis et ne voulant là réveiller. Terenia ne bougea pas et fit semblant de dormir et Daranor vint se coucher à ses cotés. L’homme faisait face au dos de sa femme, il promena sa main sur la peau douce et accueillante, puis vint peigner ses cheveux de ses doigts. Gneis se tourna vers son mari qui voulait attirer son attention, elle sourit faiblement et prit ses mains dans ses paumes.
« J’ai à te demander Daranor. » Dit Terenia avec un ton charmant
Daranor fut surpris par les rare fois qu’il entendait la voix de sa femme, et se pressa à répondre.

« Oui, ma chérie? Qu’a-tu as me demander? »
Daranor avait vu en son épouse beaucoup de changement depuis le mariage, il savait en partit que cela était causé par son dieu qui là possédait. Terenia restait une femme douce et fragile d’apparence, mais il savait mieux de sa femme, donc il ne fut pas si surprit de la question de celle-ci.
« Je voudrais apprendre à manier l’épée… De là je pourrais te suivre et combattre à tes côtés. Peut-être me verras-tu mieux de cette façon. » Terenia dit sans hésiter, puis continua. « Je suis depuis trop longtemps rester enfermer dans ces quartiers inutilement. Junolisse m’a visité et m’a demandé de faire ainsi. Il t’en a probablement passer un mot, Non? » Elle termina sa phrase, laissant son mari surprit par ses mots.
Daranor du avouer sa surprise, son dieu avait bien dit qu’il contrôlait complètement Gneis AutumnLeaf, mais à ce point là cela le surprenait. Il reprit contrôle de ses émotions et répondit à sa femme.

« Terenia je ne peux refuser qui à déjà été accepté. » Il prit un petit moment pour observer le petit sourire que sa femme lui offrait et demanda par curiosité. « Dit-moi Terenia… ce serait donc vrai que tu te tiens maintenant sous la volonté de Junolisse? »
La femme sourit à cette question qui aurait parut absurde il y a quelques mois, le sourire venait de Junolisse. Elle répondit de son élégante voix.
« Tu as bien été renseigné Daranor, mon âme appartient maintenant à Junolisse. » De cette phrase elle mit fin à la conversation et attira son mari vers elle.
« J’accepte toujours tes caresses, cousin, alors ne t’en privent pas. »
Daranor n’aimait pas qu’on lui rappelle le lien entre sa femme et lui, mais il oublia rapidement en s’adonnant à elle.

Le lendemain matin Terenia se réveilla avant le levé du Soleil. Son mari se levai toujours avant elle et ce matin ne fit pas l’exception. Elle sortit du lit et regarda dans la pièce ombragée, une tunique de cuire noir accompagné d’une note avait été déposée sur le lit. Elle prit soin de lire la note avant de s’emparer du vêtement. L’écriture était celle de son mari;

Terenia
Le maître Hilagone DarkShield va s’occuper à t’apprendre l’art de la guerre.
Il t’attend dans le jardin central, ne le fait pas patienter.
Je t’ai procuré c’est vêtement pour tes entraînements,
J’espère qu’il te plairont.
Je viendrais te voir ce soir.
Daranor DarkBlade.


Terenia embrassa la note et la déposa sur le lit. Elle s’habilla de la tunique cuire avec soin. La fille de Kelena aimait bien le cuire léger qui se collait à sa peau et le bas de la tunique descendait jusqu’en haut des genoux. Des cordons attachaient la tunique et laissaient voir un peu de sa cuisse sur les cotés. L’habit lui donnait un style beaucoup plus aventureux. Elle se tressa les cheveux en prévoyant le travaille difficile qui l’attendait. Une fois prête, elle descendis vers le jardin central. Gneis AutumnLeaf remarqua les regards se tournant à son passage et elle sourit intérieurement, car elle savait que les femmes tournait autour de son mari.

Le soleil s’était levé amenant avec lui une douce chaleur sur la peau, Gneis se tenait dans sa tunique noire en plein centre du Jardin. Elle finit par apercevoir Hilagone DarkShield dans un coin sombre du jardin. L’homme, lui aussi demi-dieu, jeta un regard menaçant vers Terenia qui s’arrêta de crainte. Depuis que son frère Daranor avait marié Terenia, Hilagone exprimait de la jalousie et du désir auprès de cette femme. Il savait que son frère ‘s’amusait’ souvent avec elle et il comptait faire de même, c’est bien pour cella qu’il avait accepté cette besogne. Il ne sourit ni ne la salua, Hilagone lui indiqua la direction de l’armurerie.

Le maître DarkShield initia la Delamay aux armes, elle prouva le don de Junolisse dans ces matières. À la fin de la journée quand l’entraînement fut fini, ses mains était en sang, mais elle avait gardé ça pour elle. Ses muscles étaient endoloris et sa tunique déchirer à certaine partie. Hilagone voulait rendre la vie dure à Terenia, mais elle prouvait un bon maintien. Secrètement le maître en était fier, toutefois ses désirs envers elle se transformaient en antipathie. Terenia remonta dans la salle principale ou elle demanda à un servant de lui amener de la nourriture. Après avoir manger, elle remonta à ses appartements pour s’occuper du petit qui restait sous la surveillante de Mia. Terenia épuisée allaita son enfant et s’endormis en bercent Arian. Elle ne se réveilla pas quand son mari vint la border dans le lit et qu’il déposa le bébé dans son panier.


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Terenia Delamay, De Dergart
Gneis Autumnleaf, Des quatre de Kelena
Taur'Amandil, Protectrice des forêts de Kelena
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Mysako
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   Posté le 15-04-2004 à 01:22:17   Voir le profil de Mysako (Offline)   Répondre à ce message   http://forum.alloforum.com/?id=3460   Envoyer un message privé à Mysako   

hemm est e qu'Elle aime Daranor ou c a cause qu'elle est vraiment prise par le mechant dieu?


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la mort est un repos auquel je n'ai pas droit...
Aucun repos pour l'etre imonde que je suis ...
l'etre degeulasse que je fut ...
née dans le vice seule soupirante de de cette cette voie ...
le requiem des corompus,des impies et des tyrands...
Ba
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